— the long way. jukebox: relationships: availability: free, fr (you?).
- seat on your shoulder. (aidia) | Ven 19 Oct - 11:28
- seat on your shoulder - aidia x lenny
Mount Juliet. Ville qui l’a vu naître, grandir, partir et revenir. Mount Juliet, c’est sa ville de coeur, celle qu’il a toujours voulu quitter, mais dont il savait qu’il finirait ses vieux jours ici. Pourtant, Lenny est revenu plus vite qu’il ne le pensait pas. Il l’a quittée pour un rêve, un rêve qu’il a fini par se rendre compte qu’il ne lui correspondait pas. Il aurait aimé prendre le temps Lenny. Il aurait aimé, en fin de compte, pouvoir remonter dans le passé et tout faire différemment. Mais on ne peut remonter dans le passé et il sait, dorénavant, qu’il va devoir vivre avec ce qu’il a fait, tout le mal qu’il a pu causer. Cependant, il sait, le jeune Anderson, qu’il pourra toujours compter sur certaines personnes malgré tout. Et en ces temps difficiles, il sait qu’il peut compter sur Aidia, une de ses seules amies à ne pas lui avoir tourné le dos. C’est presque habituellement qu’il se rend chez les Castelli, maison où il avait parfois l’habitude de se réfugier étant gamin. Un léger sourire se dessine sur le coin de ses lèvres alors qu’il tape à la porte quelques coups. C’est Aiden pourtant qui lui ouvre la porte. Quelques paroles, une accolade, et le voilà en direction du jardin de la maison où il la voit, plongée dans certains documents. — En train de chercher les derniers potins ? J’en ai un bon pour toi. — Dit-il amusé, tout en s’approchant de son amie.
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Re: - seat on your shoulder. (aidia) | Lun 22 Oct - 23:45
seat on your shoulder
I've been around the world and never in my wildest dreams; would I come running home to you @Lenny Anderson
Le temps s'écoule, le sable s'égraine dans ce petit sablier qui contrôle notre vie. Cette vie on la suit, dans cette petite ville tranquille de Mount Juliet, au milieu de ses paysages qui s'étend à perte de vue. J'observais cet horizon infini, qui s'installe dans l'État des volontaires. Ville qui nous a vu naître, qu'on connait par coeur. On continue à arpenter ses rues, à contribuer à faire vivre son âme, faire battre son coeur. Pendant ce temps, j'aimais regarder ses courbes, courir dans ses champs, et fixer le ciel comme s'il allait tomber. Épis de blé secoué par cette brise calmante. Cette brise qui souffle dans mes cheveux, tandis que je respire cet air pur. J'expire. Cette ville je ne voulais pas la quitter, enfin pas pour le moment. Et même si je devais la quitter, je la porterais dans ma valise avec moi, et surtout dans mon coeur. Parce qu'au fond, on n'oublie jamais sa ville natale, et on finit toujours par y traîner ses pied à nouveau. Mais je me sentais bien ici, chez moi en train de me détendre, mais aussi au milieu de sa population. J'aimais m'y mêler, cherchant autant la petite que la grosse information qui feront les gros titres. J'ai vu des personnes partir, puis ces mêmes personnes revenir. Des personnes avec qui j'avais grandi, des personnes que j'avais simplement côtoyé. Parmi elles, Lenny, qui venait justement s'approcher de moi tandis que je me prélassais dans le jardin. Aiden a dû lui ouvrir, pensais-je. "Toujours ! Ah, me voilà intéressée. Je t'écoute." Je lui souriais, et le saluais. J'étais contente de le revoir. "Comment tu vas ?" lui demandais-je tandis que je l'invitais à s'assoir près de moi.